Retrouvez tous les éléments ci-dessous dans la dernière mise à jour de votre Mémento Comité Social et Economique et autres représentants du personnel (Mai 2019).
> Demande d’une seconde réunion du CSE : qu’entend-t-on par “la majorité de ses membres”?
> Fixation du lieu de réunion du CSE : elle revient à l’employeur… qui ne saurait abuser de sa position
> En cas de fusion – absorption : quel est le sort des créances du comité ?
> Les indicateurs de l’index de l’égalité femmes-hommes doivent être versés dans la BDES
> Examen des comptes : le comité d’établissement peut se faire assister d’un expert comptable
> CSE et détermination des établissements distincts : l’employeur doit passer par la case négociation
> Parité hommes/femmes sur les listes de candidats : une atteinte à la liberté syndicale ?
> Désaffiliation syndicale : quel impact sur le mandat de représentant syndical au CE ?
> Le cessionnaire peut-il se prévaloir du procès-verbal de carence établi par le cédant ?
> Le champ de la discrimination étendu au processus de nomination à des fonctions exécutives.
> Quand commence à courir la protection de l’ancien délégué syndical dont la désignation est annulée ?
> Mise à la retraite : des précisions sur l’application des règles de procédure issues d’un accord collectif
> Epargne salariale : l’intéressement de projet pourra être lié à un projet interne à l’entreprise.
> PEE : une possibilité de versement unilatéral de l’entreprise sans contribution du salarié instituée.
> La mise en place d’un Perco n’est plus subordonnée à l’existence d’un PEE ou PEI dans l’entreprise.
> Égalité de traitement et accords catégoriels : pas de présomption générale de justification des différences de traitement conventionnelles.
> L’administration revient sur le point de départ du délai d’engagement des négociations obligatoires
> Les TPE de 11 à 20 salariés sans CSE auraient une option en matière de négociation.